intelligence artificielle
par la fenêtre du salon
je vois la zone industrielle
plus loin darty et décathlon
.
l’amour a les genoux qui plissent
depuis longtemps nous nous taisons
plus de complots plus de complices
les gens font quoi dans les maisons
.
enfant je détestais décembre
le miel et les robes de chambre
je voudrais n’être maintenant
.
que le jouet du vent qui souffle
je nage un peu dans mes pantoufles
c’est ridicule et fascinant
Gaston Vieujeux
SIECLES SANS FAIM
RépondreSupprimerLa grisaille enlumine le paysage
Au loin les fumées des usines
Seul l'argent règne
Dans le tempo des machines à sou
Les soeurs de la miséricorde
Plombent de leurs riffs d'acier
Les missions espagnoles
Sans une trace de venin
Pourtant un carillon tonne
Dans un sourire obsidien
Qui se réverbère en apnée
Sur un surf électrique
Merci pour votre poème qui a ce superbe mérite de rendre le talent de Gaston Vieujeux encore plus éclatant !
RépondreSupprimerUN BRIN DE LECTURE
RépondreSupprimerLe talent éclatant
C'est comme le pseudo
Un jeu qui ne trompe personne
Le talent éclatant
On le trouve où on veut
A Praz sur Arly comme ailleurs
Il soutient l'échange
Sans sourciller outre mesure
En jouant l'overdrive
Sur une portée décalée